Se former à la Transformation Digitale des entreprises

Avec l’émergence croissante de technologies numériques, de nouvelles formes d’échanges, de processus d’affaires et de relations entre acteurs professionnels, une véritable révolution digitale s’empare désormais du monde professionnel et modifie nos façons de travailler dans les PME, organisations, entreprises publiques et privées.

L’UCLouvain et l’UNamur, avec l’appui des Ateliers des FUCaM et de l’Université Ouverte de Charleroi, lancent la 2e édition de leur formation « Transformation Digitale des Entreprises ». Ce certificat universitaire permet de comprendre les enjeux de la digitalisation et d’acquérir de nouvelles compétences afin de s’adapter aux changements induits par celle-ci et d’identifier de nouvelles opportunités d’affaires.

À l’occasion de cette nouvelle édition, Alain Vas, vice-recteur de l’UCLouvain en Hainaut et professeur de stratégie et de gestion du changement à la Louvain School of Management et Stéphane Faulkner, CIO de l’UNamur et professeur en ingénierie des données ont répondu aux questions d’Olivier Clinckart pour le Trends Tendance.

En quoi consiste la formation ?

Alain Vas, vice-recteur de l’UCLouvain en Hainaut et professeur de stratégie et de gestion du changement à la Louvain School of Management : « Elle propose une approche systémique de la transformation digitale des entreprises dans laquelle l’humain reste au cœur de la réflexion. Cette transformation est réussie si la direction et les collaborateurs sont convaincus. »

« La grande majorité des managers reconnait un déficit de compétence pour prendre les décisions qui s’imposent ou saisir les opportunités du digital. »

Stéphane Faulkner, CIO de l’UNamur et professeur en ingénierie des données : « Les chiffres démontrent que la transformation digitale a des effets bénéfiques en termes de croissance. Notre ambition est d’accompagner une partie de l’écosystème wallon afin qu’il s’emploie à miser pleinement sur l’activation des compétences nécessaires pour en retirer un maximum de bénéfices. »

La suite de cette entrevue est à retrouver sur Planet Business